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BOHIO: RD DESCARTO VISITA GRUPO OEA

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Fecha: Wed, 7 Dec 2005 15:47:05 -0400
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-------> MESSAGE ORIGINAL

Dice RD descartó visita grupo OEA 1:03 PM

       PERIODICO EL NACIONAL
                         Florentin Melendez

           El Gobierno no dio su anuencia para una visita formal de la
Comisión Interamericana de los Derechos Humanos (CIDH) a la República
Dominicana, según informó el relator especial de ese organismo, doctor
Florentín Meléndez, al inaugurar ayer un taller sobre derechos humanos en
el hotel El Embajador.

      Dijo, sin embargo, que la OEA ni la CIDH tienen reproche alguno
contra el país, y que su visita es para verificar que en los procedimientos
que se llevan a cabo se respeten derechos internacionalmente protegidos,
pero bajo ningún concepto para cuestionar la decisión soberana de un Estado
de aplicar sus leyes migratorias.

      Llamó a las organizaciones no gubernamentales a no utilizar a la
Comisión como "trinchera contra los estados, sino a usar objetivamente la
Corte a favor de las víctimas de violaciones de los derechos humanos, sin
politizar los casos".

   En principio la delegación estaría presidida por el presidente
de la Comisión e integrada por otros miembros del organismo, pero el
Gobierno no autorizó la visita oficial. Uno de los temas que evaluaría
sería el de la situación de los derechos humanos con los inmigrantes
haitianos.

    Respaldó el planteamiento del Gobierno dominicano "de que la
comunidad internacional tiene que intervenir más decisivamente para
ayudar a resolver ese problema humanitario, porque es un problema
humanitario este de los inmigrantes haitianos".

Meléndez, quien fungió como coordinador del taller en que
participaron más de una treintena de ONGs, la mayoría asociada a la
problemática de la inmigración haitiana, indicó en la primera parte de
la jornada abierta al público y a la prensa que "el objetivo de esta
misión era también visitar las cárceles del país, pero lamentablemente no
hemos recibido la anuencia del Gobierno".

Anoche el relator de la Comisión se reunió en el hotel El
Embajador con jueces de primera instancia, miembros del Ministerio
Público y representantes de universidades.

   Además de visitas a las cárceles, el programa propuesto al
Gobierno dominicano incluía como se estila encuentros con distintas
autoridades con una probable reunión con el presidente Leonel Fernández,
intercambios con las ONGs y representantes eclesiásticos vinculados al
tema migratorio y la situación general de los ciudadanos haitianos en el
país, tal como sugerido en una audiencia celebrada en la sede del
organismo en octubre pasado.

El especialista salvadoreño en asuntos de derechos humanos
señaló en sus palabras introductorias que "las misiones del CIDH no
pueden verse como intromisiones en asuntos internos de los estados,
cuando son los mismos estados que han establecido las reglas de juego y
modos de intervenciones de la comisión", por lo que considera que no hay
porqué ver el CIDH como si fuera un "enemigo de los gobiernos".

"La aplicación de políticas migratorias es un asunto soberano y
firme de un Estado, de ver a quién recibe y a quién no recibe", dijo, y
explicó que con la verificación se busca que se hagan las cosas siguiendo
un debido proceso y no sobre la base de una orden autoritaria.

Cito a países como Brasil y Argentina, donde fue invitado a ver
las condiciones en las cárceles de menores, señalando la actitud de sus
autoridades, que han aceptado la existencia de graves fallas y han
prometido corregirlas.

   Observó que "los estados condenados por la Corte Interamericana
no han mostrado flexibilidad en las negociaciones y concesiones
recíprocas entre las partes para lograr una solución amistosa en vez de
un fallo de la corte", sin referirse en particular al caso de la
República Dominicana, recién condenada por la negativa a otorgar actas de
nacimiento a dos niñas de ascendencia haitiana.

  La segunda parte de la jornada se hizo a puertas cerradas con
invitados especiales constituidos mayormente por unas 30 ONGs dominicanas
y haitianas, donde se pasó revista a la situación general de los derechos
humanos en la República Dominicana con énfasis particular en la
aplicación del nuevo Código Procesal Penal, el tema migratorio y las
violaciones de derechos humanos de los ciudadanos haitianos.

             - Por Leo Reyes

-------> FRANCAIS (ATTENTION: CECI EST UNE TRADUCTION AUTOMATIQUE NON REVISEE

Dice RD descartó visite groupe OEA 1:03 pm

PÉRIODIQUE LE RESSORTISSANT
                         Florentin Melendez

             Le Gouvernement n'a pas donné son assentiment pour une visite
formelle de la Commission Interaméricaine des Droits Humains (CIDH)
à la République dominicaine, comme a informé ce qui est relator
spécial de cet organisme, docteur Florentín Meléndez, en inaugurant
hier un atelier sur les droits humains dans l'hôtel l'Ambassadeur.

             Il a dit, toutefois, que l'OEA ni la CIDH ont reproche un
certain
contre le pays, et que sa visite est pour vérifier que dans les
procédures qui sont menées à bien on respecte des droits
internationalement protégés, mais sous aucun concept pour interroger
la décision souveraine d'un État d'appliquer ses lois migratrices.

             Il a appelé aux organisations non gouvernementales à ne pas
utiliser
à la Commission comme "tranchée contre les états, mais à utiliser
objectivement la Coupe pour les victimes de violations des droits
humains, sans politiser les cas".

             En principe la délégation est présidée par le président de la
Commission et intégrée par d'autres membres de l'organisme, mais le
Gouvernement n'a pas autorisé la visite officielle. Un des sujets qui
évaluerait serait celui de la situation des droits humains avec les
immigrants haitianos.

             Il a approuvé l'approche du gouvernement dominicain "dont la
Communauté internationale doit intervenir plus de manière décisive
pour aider à résoudre ce problème humanitaire, parce qu'elle est un
problème humanitaire ce des immigrants haitianos".

             Meléndez, celui qui a fonctionné comme coordinateur de l'atelier
dans qu'ont pris part plus de une trentaine d'ONGs, la majorité
associée à la problématique de l'immigration haitiana, a indiqué
regrettablement dans la première partie de la journée ouverte au
public et à la presse que "l'objectif de cette mission était aussi
de visiter les prisons du pays, mais n'avons pas reçu l'assentiment
du Gouvernement".

             Ce qui est relator de la Commission l'Ambassadeur s'est
réuni hier
soir dans l'hôtel avec des juges de première instance, des membres
du Ministère Public et représentants des universités.

             Outre des visites aux prisons, le programme proposé au
gouvernement
dominicain incluait comme se on des rencontres avec différentes
autorités avec une réunion probable avec le président Leonel
Fernández, échanges avec les ONGs et représentants ecclésiastiques
liés au sujet migrateur et la situation générale des citoyens
haitianos dans le pays, comme suggéré dans une audition tenue dans
le siège de l'organisme en octobre passé.

             Le spécialiste salvadoreño dans des affaires de droits humains a
indiqué en ses mots introductifs que "les missions du CIDH ne peuvent
pas être vues comme interférences dans des affaires internes des
états, quand qui seront les mêmes états ils ont établi les règles
jeu et modes d'interventions de la commission",ce pourquoi il considère
que n'a pas parce que voir le CIDH comme si
dehors un "ennemi des gouvernements".

             "L'application de politiques migratrices est une affaire
souveraine et
ferme d'un État, de voir qui reçoit et qui ne reçoit pas", a dit,
et a expliqué qu'avec la vérification on cherche qu'on fasse les
choses en suivant un processus nécessaire et non sur base d'un ordre
autoritaire.

             Je cite à des pays comme le Brésil et l'Argentine, où il a été
invité à voir les conditions dans les prisons de mineurs, en
indiquant l'attitude de ses autorités, qui ont accepté l'existence
de de graves tu manques et ils ont promis de les corriger.

             Il a observé que "les états condamnés par la Coupe
Interaméricaine
n'ont pas montré flexibilité dans les négociations et les
concessions réciproques entre les parties pour obtenir une solution
amicale au lieu d'un jugement de la coupe", sans se référer en
particulier au cas de la République dominicaine, récemment
condamnée par le refus d'accorder des actes de naissance à deux
enfants d'ascendance haitiana.

             La seconde partie de la journée a été faite à des portes fermées
avec des hôtes spéciaux constitués plus grandement par quelque 30
ONGs dominicaines et haitianas, où on a passé en revue à la
situation générale des droits humains dans la République
dominicaine avec emphase particulière dans l'application du nouveau
Code De procédure Pénal, le sujet migrateur et les violations de
droits humains des citoyens haitianos.

             - Par je Lis des Rois

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Nearby jue 08 dic 2005 12:00:20 AST

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