-------> ESPAÑOL / MESSAGE ORIGINAL
Hola Manuel de Jesus (Chano) y demás miembros de la Red
He leido con mucha atencion la reaccion de Manuel de Jesus. Su
preocupacion es de buena raiz pero, segun me parece, no se encaja dentro
del entorno de la noticia, tampoco en el fondo de la misma.
Ahora bien. Cuando es llevado - como todos nosotros - por la dinamica de
un entorno social caracterizado por el racismo y el antihaitianismo,
cualquier defensor de derechos humanos llega a desarrollar reflejos los
cuales a su torno conllevan a la creacion de otro entorno, parallelo, de
defensa collectiva y, sobre todo, solidaridad. Es un mecanismo social. De
defensa social.
Todo mecanismo es sujeto a malfuncionamiento. De vez en cuando, un grano
de arena se mete y el mecanismo cambia de rumbo. Su funcion cambia.
Para que todo eso funciona es imprescindible que se maneja bien la
informacion.
En eso estamos de acuerdo. Esta vez, el grano de arena ha sido una
informacion que - todavia no puedemos esta seguros - no ha sido
verificada. Bueno. Para el bienestar de las comunidades haitianas y
dominicanas es importante que la dinamica de solidaridad en la defensa de
los derechos de inmigrantes - en ese caso - se reajuste.
El reflejo de solidaridad nos lleva a asegurarnos que despues del
reajuste TODO SIGA BIEN, PERSONA, RED, INFORMACIONES. Por eso hay que
manifestar comprension, humilidad (nos pasa a todos y como periodista, lo
se muy bien) y deseo de ayudar a mejorar el entorno social de solidaridad.
Las comunidades fronterizas por razones geograficas y historicas no
reaccionan como las comunidades del interior, frente A LA MANIPULADA
CAMPAÑA CONTRA LOS INMIGRANTES NEGROS HAITIANOS. Sin embargo, eso no
quiere decir que viven un mundo aparte, por donde cruzan caravanes de
personas humiliadas y heridas en su condicion de ser humano.
Todos y todos, tenemos, por solidaridad y por tener fe en nuestra lucha,
de compartir lo bueno y lo malo. No veo ninguna mala intencion en eso. No
veo en que eso pertubaria la presunta ¨calma¨ de la dolce vita en la
frontera... donde, a mi humilde juicio, el hecho de compartir mal trato
economico y social de parte de gobiernos y otros sectores de poder,
impone la convivencia.
Pero eso no elimina el antagonismo de los clases sociales. Tampoco el
antihaitianismo. Tampoco la xenofobia. Todo se liga. Nada queda aislado.
Cuando un antisocial dominicano mata a otro dominicano, no veo que una
multitud furiosa provoca heridas con armas blancas contra los familiares
y amistades de ese antisocial. Y eso si hablar del hecho que estamos
siguiendo normas del juego social que implica no hacerse justicia a si mismo.
Cuando un presunto antisocial haitiano mata a otro haitiano o a un
dominicano, entiendo que la multitud reacciona como se consta PORQUE
ALGUIEN - MANIPULADOR - INDENTIFICO UN GRUPO SOCIAL COMO PERRO RABIOSO !!
De eso se trata, Manuel. No hay deseo de echar gasolina al fuego. Pero
intencion de seguir siendo humano, es decir humano que comparte todo por
el beneficio de otros humanos.
Usted menciona la actuaccion de : "Unos nacionalista creando condiciones
de cualquier hecho; unas autoridades que no actúan; y muchas veces, unos
defensores de esos derechos que no ven
más allá de sus causas o las razones ciegas para defender hechos que son
indefendibles".
¿Cuales son Manuel de Jesus, los limites de las causas por las que luchan
los defensores de derechos humanos ?
¿Seran indefendibles hechos de sangre que pretenden castigar toda una
nacionalidad por un supuesto crimen que habria cometido un presunto
antisocial ?
Tambien escribe que : "La división solo está en la mentalidad de los
intelectuales llamados nacionalistas y en los que defendemos a los
inmigrantes de los abusos de autoridades y patronos". Si entiendo bien,
el sentido de la vida en los pueblos fronterizos es ajeno a los
nacionalistas y a los defensores de inmigrantes quienes son el peligro .. !
Bueno. No estoy de acuerdo con usted. Tampoco la gente herida en su
cuerpo ficio y en su humanidad.
> Manuel de Jesus <ceajuri@verizon.net.do> a écrit :
> Hola Collette y demás miembros de la Red
> Quiero expresar una preocupación relativa al caso de Barranca, Tamayo.
> (....)
-------> FRANCAIS (ATTENTION: CECI EST UNE TRADUCTION AUTOMATIQUE NON REVISEE
Bonjour Manuel Jesus (Chano) et autres membres du Réseau
J'ai leido avec beaucoup d'attention la réaction Manuel Jesus. Sa
préoccupation est de bonne racine mais, comme mo'elle paraît, il
n'est pas installé non plus dans l'environnement des nouvelles, dans
le fonds de de cette dernière.
Or. Quand il sera porté - comme tous nous - par la dynamique d'un
environnement social caractérisé par le racisme et
l'antihaitianismo, tout défenseur de droits humains arrive à
développer des reflets lesquels à son treuil entraînent à la
création d'un autre environnement, parallelo, défense collective et,
surtout, solidarité. C'est un mécanisme social. De défense sociale.
Tout mécanisme est soumis à malfuncionamiento. De temps à autre, un
grain de sable est mis et le mécanisme change de direction. Sa
fonction change.
Pour que tout cela fonctionne il est indispensable qu'on manie bien
l'information.
Cela nous sommes d'accord. Cette fois, le grain de sable a été une
information qui - encore non puedemos il est sûrs - n'a pas été
vérifié. Bon. Pour le bien-être des Communautés haitianas et
dominicaines il est important que la dynamique de solidarité dans la
défense des droits d'immigrants - dans ce cas - est rajustée.
Le reflet de solidarité nous assure nous qu'après le rajustement
TOUT SUIVE BIEN, PERSONNE, RÉSEAU, INFORMATIONS. C'est pourquoi il
faut manifester une compréhension, humilidad (il passe tous et comme
journaliste, lui se très bien) et je souhaite d'aider à améliorer
l'environnement social de solidarité.
Les Communautés frontalières pour des raisons géographiques et
historiques ne réagissent pas comme les Communautés de l'intérieur,
face à la CAMPAGNE MANIPULÉE CONTRE les IMMIGRANTS NOIRS HAITIANOS.
Toutefois, cela ne veut pas dire qu'ils vivent un monde distinct, par
où ils croisent caravanes personnes humiliadas et blessures dans leur
condition de de être humain.
Tous et tous, nous avons, pour solidarité et pour avoir foi dans
notre lutte, de partager ce qui est bon et l'ennui. Je ne vois aucune
mauvaise intention dans cela. Je ne vois pas dans lesquel cela
pertubaria la ¨calma¨ présumée de la dolce vita à la frontière...
où, à mon jugement humble, le fait de partager mal traitement
économique et social de gouvernements et d'autres secteurs de
pouvoir, impose la coexistence.
Mais cela n'élimine pas l'antagonisme des classes sociales. Non plus
l'antihaitianismo. Non plus la xénophobie. Tout est lié. Rien est
isolé.
Quand un antisocial dominicain tuera autre dominicain, je ne vois pas
qu'une multitude furieuse provoque des blessures avec des armes
blanches contre les parents et les amitiés de de cet antisocial. Et
cela si parler du fait que nous suivons normes du jeu social qui
implique ne pas faire de la justice à à lui-même.
Quand un présumé antisocial haitiano tuera autre haitiano ou un
dominicain, je comprends que la multitude réagit comme se figure
PARCE QUE QUELQU'UN - MANIPULATEUR - INDENTIFICO un GROUPE SOCIAL
COMME CHIEN FURIEUX !!De de cela on traite, Manuel. Il n'y a pas désir de
jeter essence au
feu. Mais intention de être encore humain, c'est-à-dire humain qui
partage tout par le bénéfice d'autres hommes.
Vous mentionnez l'actuaccion de de : "Un nationaliste en créant des
conditions de tout fait ; des autorités qui n'agissent pas ; et
souvent, des défenseurs de ces droits que ne voient pas au-delà de
leurs causes ou les raisons des aveugles pour défendre des faits qui
sont indéfendables ".
Quel sont Manuel Jesus, les limites des causes par lesquelles
combattent les défenseurs de droits humains ?
Seran indéfendables faits de sang qui prétendent punir toute une
nationalité par une hypothèse crime qui habria commis un présumé
antisocial ?
Il écrit aussi que : "La division est seulement dans la mentalité
des intellectuels appelés nationalistes et dans lesquels nous
défendons aux immigrants des abus autorités et patrons". Si je
comprends bien, le sens de la vie dans les peuples frontaliers est
étranger aux nationalistes et aux défenseurs d'immigrants ceux qui
sont le danger.. _ !
Bon. Je ne suis pas d'accord avec vous. Non plus les gens blessés
dans son corps ficio et dans son humanité.
> Manuel de Jesus <ceajuri@verizon.net.do> a écrit :
> Bonjour Collette et autres membres du Réseau
> Veux exprimer une préoccupation relative au cas de Barranca, Tamayo.
> (...)
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