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BOHIO: FESTIVAL ACP / la culture dans toutes ses dimensions

BOHIO: FESTIVAL ACP / la culture dans toutes ses dimensions

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Fecha: Tue, 24 Oct 2006 11:24:59 -0400
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-------> MESSAGE ORIGINAL

Media :Le Matin

Date de publication:mardi 24 octobre 2006

Source:http://www.lematinhaiti.com/PageArticle.asp?ArticleID=2789

Auteur:Ladenson Fleurival

SANTO DOMINGO/FESTIVAL ACP / Lexpression de la
culture dans toutes ses dimensions

  Par Ladenson Fleurival, envoyé spécial

ladenson@lematinhaiti.com

Pendant une semaine, les 79 États membres du groupe
Afrique, Caraïbe, Pacifique (ACP) ont exposé aux
yeux du monde entier la richesse et la variété de
leur culture, à loccasion du premier festival
culturel ACP.

Tenue à Santo Domingo, République dominicaine, du 14
au 21 octobre 2006, cette manifestation culturelle a
permis dapprécier une variété de créations et
de productions culturelles : danse, théâtre,
cinéma, musique, exposition, défilé de mode, etc.

Les visiteurs, les opérateurs, les artistes, les
professionnels de la culture ont eu, en la
circonstance, loccasion de senquérir sur la
culture de chacun des États de lAfrique, de la
Caraïbe, et du Pacifique, et dappréhender
limportance des industries culturelles de lACP.

Vantant la richesse de lévènement, une visiteuse
camerounaise se dit émue par la multiplicité et la
richesse du groupe. Elle se prononce en faveur du
continent africain pour lorganisation prochaine du
festival. Les pays dAfrique étaient présents en
grand nombre.

Des centaines dacteurs : artistes, professionnels
de la culture, se sont donc rassemblés pour la
première fois en République dominicaine pour
produire, exposer, échanger leurs expériences
professionnelles, mettre en évidence les enjeux et
priorités communs aux pays ACP.

Si Haïti a raté son coup dans la foire quelques
livres dans les rayons du stand qui lui était
réservé son entrée dans les domaines de la
musique et de la danse en particulier a été
magnifique.

Avec des morceaux parfois polémiques, parfois
sociaux, le groupe musical Racine Mapou de Azor,
Lénord Fortuné de son vrai nom, a électrifié le
public réuni à la « Casa de teatro », dans des
improvisations rythmées, aux premières heures du
samedi 21 octobre 2006 (entre minuit et 2 : 00 AM).

Deux jours auparavant, soit le 19 octobre dans la
soirée, Azor avait déjà épaté la foule réunie à
la Plaza de Espana par sa voix, son tambour, ses
complices avec des numéros les uns plus entraînants
que les autres.

Le groupe a joué, comme à son aise, de la musique
traditionnelle : sans arrangements modernes, ni
instruments électriques. La voix puissante de Azor,
marquée par le battement inlassable des tambours
dinspiration pétro, et secondée par un cur de
deux femmes et les autres tambourinaires, a célébré
à Santo Domingo, les loas, les dieux vaudous de la
nation haïtienne, chanté lattachement aux
racines, commenté les épisodes de la vie politique.

Lautre exploit dHaïti dans le festival est
signé Ayikodans. À la « Sala Manuel Rueda », le
vendredi 19 octobre 2006, ce fut un silence absolu au
cours de la prestation de la troupe de Jeanguy
Saintus. Tout le monde sest tu et sest laissé
pénétrer par la profondeur de la chorégraphie du
groupe haïtien.

Ayikodans a exécuté sa danse sur un rythme qui
traduit de la pitié. Les six acteurs sur scène ont
présenté des images dune personne en proie à la
souffrance. Luvre est délirante, dévorante. On
dirait des coutelas qui transpercent le cur des
artistes en production.

Avec Ayikodans, et sous le tamtam harmonieux dun
tambour et dautres instruments traditionnels,
lassistance a appris comment tracer un « Vêvê
», tout en étant sur scène.

La troupe de Jeanguy Saintus a donc réussi un mariage
parfait entre la danse contemporaine et le style
traditionnel lors de sa présentation.

Les autres États : La République dominicaine, pays
hôte, présente dans tous les domaines du festival,
lIle Maurice, lIle de Samoa, Le Burkina Faso, le
Madagascar, lAfrique du Sud, le Cameroun, la
Guinée, , ont signifié au monde entier, à partir
de leur prestation, ou leur exposition, quil
nexiste de « peuple que de culture ».

Le monde ACP dispose donc dun patrimoine culturel
et dun potentiel de créations gigantesques et
particulièrement variées, grâce notamment à son
envergure (750 millions dhabitants environ), à son
morcellement et à sa multiplicité ethnique.

Limportance de la participation humaine à une
activité culturelle pour le développement personnel
nest plus à démontrer. Les arts et la culture
aiguisent les capacités intellectuelles et
contribuent largement au développement des
connaissances et des compétences individuelles.

Si la culture est le dernier élément qui reste à un
peuple quand plus rien nexiste, les 79 États
membres du groupe ACP ont prouvé, au cours de ce
premier festival que la culture peut régénérer les
peuples et servir à leur développement économique
et social.

mardi 24 octobre 2006

-------> ESPAÑOL (ATENCION: LA SIGUIENTE ES UNA TRADUCCION AUTOMATICA NO
REVISADA)

Medios de comunicacíon: Mañana

Fecha de publication:mardi 24 de octubre de 2006

Source:http://www.lematinhaiti.com/PageArticle.asp?ArticleID=2789

Auteur:Ladenson Fleurival

SANTO DOMINGO/FESTIVAL ACP/Lexpression de la cultura en todas sus
dimensiones

  Par Ladenson Fleurival, envoyé spécial

ladenson@lematinhaiti.com

Durante una semana, los 79 Estados miembros del grupo África, Del
Caribe, Pacífico (ACP) expusieron a los ojos del mundo entero la
riqueza y la variedad de su cultura, a loccasion del primer festival
cultural ACP.

Tenida a Santo Domingo, la República Dominicana, del 14 al 21 de
octubre de 2006, esta manifestación cultural permitió a dapprécier
una variedad de creaciones y producciones culturales: danza, teatro,
cine, música, exposición, desfile de método, etc.

Los visitantes, los operadores, los artistas, los profesionales de la
cultura tuvieron, en la circunstancia, loccasion senquérir sobre la
cultura de cada uno de los Estados de lAfrique, del Del Caribe, y de
el Pacífico, y del limportance de las industrias culturales de lACP.

Elogiando la riqueza de lévènement, una visitadora camerunesa se
dice mover por la multiplicidad y la riqueza del grupo. Se pronuncia
en favor de continente africano para próximo lorganisation del
festival. Los países dAfrique estaban presentes en gran número.

Centenares dacteurs: artistas, profesionales de la cultura, pues se
reunieron por primera vez en la República Dominicana para producir,
exponer, intercambiar sus experiencias profesionales, poner de relieve
lo que está en juego a niveles y prioridades comunes a los países
ACP.

Si Haití faltó su golpe en la feria algunos libros en los rayos de
la caseta que se le reservaba su entrada en los ámbitos de la música
y la danza en particular fue espléndido.

Con pedazos a veces polémicos, a veces sociales, el grupo musical
Raíz Mapou de Azor, Lénord Afortunado de su verdadero nombre,
electrificó al público reunido en "archivó de teatro", en
improvisaciones dadas ritmo, a las primeras horas del sábado 21 de
octubre de 2006 (entre medianoche y 2: 00 AM).

Dos días antes, o sea el 19 de octubre en la tarde, Azor ya épaté
la muchedumbre reunida en el Plaza de Espana por su voz, su tambor,
sus cómplices con números los unos que implicaban más que otros.

El grupo jugó, como a su comodidad, de la música tradicional: sin
acuerdos modernos, ni instrumentos eléctricos. La voz potente de
Azor, señalada por la pulsación incansable de los tambores
dinspiration pétro, y apoyada por un cur de dos mujeres y los otros
tambourinaires, celebró a Santo Domingo, los loas, dioses vudúes de
la nación haitiana, cantado lattachement a las raíces, comentado los
episodios de la vida política.

Se firma a Lautre hazaña dHaïti en el festival Ayikodans. A "saló a
Manuel Rueda", el viernes 19 de octubre de 2006, fue un silencio
absoluto durante la prestación de la tropa de Jeanguy Saintus. Todo
el mundo sest ti y sest dejado penetrar por la profundidad de la
coreografía del grupo haitiano.

Ayikodans realizó su danza sobre un ritmo que traduce piedad. Los
seis protagonistas sobre escena presentaron imágenes duna persona en
presa al sufrimiento. Luvre es delirante, devorando. Éldiría cuchillas
que atraviesan el cur de los artistas en
producción.

Con Ayikodans, y bajo el tamtam armoniosos dun tambor y dautres
instrumentos tradicionales, lassist aprendieron cómo trazar un "a
Vêvê", muy siendo sobre escena.

La tropa de Jeanguy Saintus pues consiguió un matrimonio perfecto
entre la danza contemporánea y el estilo tradicional en su
presentación.

Los otros Estados: La República Dominicana, país huésped, presenta
en todos los ámbitos del festival, lc Maurice, lc de Samoa, Burkina
Faso, el Madagascar, lAfrique del Sur, el Camerún, Guinea, significó
al mundo entero, a partir de su prestación, o su exposición, quil
nexiste de "pueblo quien de cultura".

El mundo ACP dispone pues dun patrimonio cultural y dun potencial de
creaciones gigantescas y especialmente variadas, gracia, en
particular, a su envergadura (750 millones dhabitants alrededor), a su
fraccionamiento y a su multiplicidad étnica.

Limportance de la participación humana en una actividad cultural para
el desarrollo personal nest más que debe demostrarse. Las artes y la
cultura afilan las capacidades intelectuales y contribuyen ampliamente
al desarrollo de los conocimientos y competencias individuales.

Si la cultura es el último elemento que permanece a un pueblo cuando
más nada nexiste, los 79 Estados miembros del grupo ACP han probado,
durante este primer festival que la cultura puede regenerar el pueblo
y servir a su desarrollo económico y social.

octobre 2006 del mardi 24

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Nearby jue 26 oct 2006 14:44:27 AST

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